Médiathèque du Lamentin
Mercredi 27 juin – 9h30
Projection de films d’animation pour les enfants à partir de 6 ans.
Jeudi 28 juin – 19h00

Soirée coraux

« JUAN DE NOVA, L’ÎLE DE CORAIL »

Juan de Nova… île perdue dans l’immensité de l’océan Indien, entre l’Afrique et Madagascar. Cette île doit son existence à son récif corallien, qui s’est lentement développé au cours du temps jusqu’à former une terre immergée faite de corail et de sable. Le corail est malade, il est blanchi, les polypes meurent et les coraux sont recouverts d’algues. Pourquoi? Le récif peut-il être sauvé?

 

Vendredi 29 juin – 19h00

Soirée eau

« L’EAU MIROIR DU MONDE ANDIN »

L.Bazin (France – 2002) 34 mn

Un paysage spectaculaire, façonné par un enchevêtrement de canaux d’irrigation dont certains remontent à l’époque pré-coloniale… L’histoire des communautés andines s’inscrit dans cette maîtrise de l’espace montagneux et de ses eaux. Prouesses techniques et sociales tout autant que symboliques.

 

« L’EAU DU DIABLE »

Amirul Arham (France – 2005) 52 mn

Au Bangladesh, 49 millions de personnes sont contaminées par l’arsenic contenu dans l’eau qu’elles consomment quotidiennement. Mal informés, abandonnés, rejetés, des gens meurent dans leurs villages dans l’indifférence générale.

Projection en présence du réalisateur invité, « L’eau du diable » ayant remporté la compétition 2006.

Amirul Arham et Martine Sornay
Samedi 30 juin – 16h00
« NOTIONS D’ENVIRONNEMENT ET DEVELOPPEMENT DURABLE »

Nathalie Beloiseau (France -2007) 15mn

Un film sous l’égide de l’association Archipel des Sciences dans le cadre de ses activités de sensibilisation.

 

19H00
« VERITE QUI DERANGE » (An Inconvenient truth »)

David Guggenhiem(Etats-Unis – 2006)

Ce film, démonstration à l’américaine qui a le mérite de l’efficacité, concrétise le message le plus important d’Al Gore : «  Nous ne devons plus considérer le réchauffement climatique comme un problème politique, mais comme le plus grand challenge moral de notre civilisation. Le titre révèle d’ailleurs l’objectif du film car même au niveau de l’administration Bush, le changement climatique ne peut objectivement être renié. Mais reconnaître la véracité du phénomène, c’est se contraindre à prendre des mesures en ce sens, ce qui dérangerait pour le moins l’actuelle administration! ».

Présenté au Festival de Sundance, puis à Cannes, le documentaire produit par Participant Production, a reçu 3 millions de spectateurs aux Etats-Unis et engrangé plus de 20 millions de dollars de recettes.