La nouvelle mouture du TERRA Festival est placée sous la présidence d’honneur de Jean-Marie FLOWER, directeur du Jardin Botanique de Basse-Terre.

 

Jean-Marie Flower est né en Guadeloupe il y a 35 ans. Docteur de l’Université des Antilles et de la Guyane en écologie depuis 2004, il partage son temps de travail entre le conservatoire botanique de Guadeloupe et des activités de conseil en diagnostic et stratégie gaz à effet de serre.

Son engagement pour la décroissance de l’empreinte écologique guadeloupéenne s’inscrit dans un « penser global et à long terme pour agir local et à court terme », appelle à faire équipe avec les équilibres écologiques dont nous dépendons toujours au niveau planétaire pour notre survie, et se traduit par un sevrage progressif de notre dépendance aux ressources fossiles, salutaire pour tous.

« plis lyannaj épi lanviwonnaj avan i las (si)pòté nou ! ».JMF

 

Le TERRA FESTIVAL reçoit cette année plusieurs invités.

Cécile COURAUD, jeune réalisatrice indépendante

Elle nous apporte son film « Déchets à ménager » qui est en relation directe avec l’actualité de la Guadeloupe.

 

 

 

 

 

Marc GIRAUD, écrivain, illustrateur, écoguide et homme de télévision spécialisé en zoologie, se déclare avant tout naturaliste de terrain.

Il sait traduire avec humour, à l’aide de mots simples et de formules qui font mouche, des notions scientifiques complexes. Il se passionne pour tous les animaux, des plus petits aux plus gros, des plus proches aux plus exotiques, les espèces sauvages comme les domestiques.

 

 

Sébastien VIAUD, initiateur du film « Goldmen, résistants pour la terre ».

Enseignant et photographe, il anime depuis plusieurs années des clubs Unesco dans son collège, autant d’occasions de parler d’environnement. Ce tour du monde était pour lui le moyen de trouver des éléments de réponses aux questions de ses élèves : mais qu’est-ce qu’on peut faire ? Polyglotte, coauteur du documentaire « Le Combat de la rose » (France Télévision, 2007), Sébastien Viaud est passionné d’environnement. C’est cette passion qui l’a poussé sur la route, à la rencontre de ces hommes et de ces femmes engagés pour la protection de notre planète, dans des conditions précaires et souvent au péril de leur vie.

 

 

 

Atherton MARTIN, ingénieur agronome, prix Goldman en 1998.

En 1995, le riche écosystème de la Dominique a été menacé lorsque Broken Hill Proprietary (BHP), la plus importante société minière d’Australie, a planifié l’installation d’une importante mine de cuivre. Atherton a une longue expérience de lutte, contre les appétits de l’industrie minière, pour la vigilance sur les quotas de pêches sur les baleines… En 2002, il n’a pas hésité à démissionner de son poste de Ministre de l’Environnement pour protester contre les manœuvres du Japon.

copyright S.Viaud

 

La présence de ces invités de prestige permet notamment d’enrichir les débats lors des soirées .

 

 

 

 

LE PROGRAMME 2010

 

Samedi 10 avril

 

Médiathèque / Lamentin Soirée d’ouverture (sur invitation)

18 heures

 

Discours  officiels

Hommage à Guy Cornély (avec Gérard César et en présence de Madame Cornély)

Tous les témoignages sur cet homme populaire sont unanimes. Décrit comme une figure humaine d’une grande gentillesse et d’une grande humilité, il s’est imprégné toute sa vie de l’essence de disciplines très diverses en gardant toujours en tête un seul objectif : le partage de ses connaissances avec ses compatriotes. Il a été tour à tour militaire, chercheur en biologie et botanique, historien puis conteur.

 

En lui rendant hommage, le TERRA Festival salue l’engagement passionné et inépuisable de ce grand humaniste pour un mieux être de l’homme et de sa planète.

 

 

 

 

 

Vernissage des expositions

 

Dany Levreau (mosaïques sur bois flotté)

 

 

 

 

 

Daniel Dabriou (photos)

 

 

Natana Lamy (photos)

 

 

Philippe Pollet (sculpture)

 

 

Exposition    « La biodiversité » (CRDP)

 

 

Cocktail

Solutions locales pour désordre global de Coline Serreau (1h58- 2010)

Synopsis : Le dérèglement écologique mondial est une conséquence directe de notre système de production et de consommation. Il en résulte une crise profonde des ressources de la terre qui menace gravement la sécurité alimentaire de la planète. Pourtant, des solutions existent. Et toutes de fondent sur l’élaboration d’un autre type de société… Il est urgent de présenter ces alternatives qui promettent de sauver la planète et l’humanité par la même occasion !

 

 

 

 

 

 

Dimanche 11 avril

Théâtre de Verdure / Lamentin

19 heures Le syndrome du Titanic de Nicolas Hulot et Jean-Albert Lièvre (1h33 – 2009)
Synopsis : « Je n’étais pas écologiste quand j’ai commencé, il y a 30  ans, à voyager de par le monde. J’ai vu la planète se rétrécir sous  mes yeux, je suis passé de la conviction insouciante de vivre dans  monde infini et immuable à la conscience d’un monde fini et vulnérable. Depuis presque 20 ans, je me bats avec d’autres pour alerter mais surtout mobiliser face à la menace. Aujourd’hui, le cinéma m’apparaît comme le moyen essentiel pour que chacun  puisse à son tour, en France et à l’étranger, s’approprier le constat et partager mes sentiments… »

 

LES FILMS EN COMPETITION SONT JUGES PAR DEUX JURYS

 

Jury longs métrages

Brigitte Jean-Charles :  Enseignante, personne ressource pour l’Education au Développement Durable.

Régine Ramdine : Professeur de sciences de la vie et de la terre.

Jean-Marc Blazy : Chercheur à l’INRA et co-réalisateur de « Lappia, histoire d’un exemple », mention spéciale du TERRA Festival 2009.

Marc Christophe : Directeur de « l’Archipel des Sciences ».

Emmanuel Bogat :  Directeur de Heaven Prod, société de production audiovisuelle. Réalisateur de l’émission « Cinéstar » et de notre bande annonce.

 

Jury courts métrages

Corinne Thicot :   responsable de l’espace adulte à la médiathèque du Lamentin.

Catherine Odet :   INRA

Jean-Marc Césaire :  Créateur et directeur de Cinéwoulé

Davy  Asensio :   Jeune participant à la formation cinéma appelée « Profession? Cinéma !! » organisée par la DDJS et Cinéwoulé. Aspire à devenir chef-monteur, voir réalisateur.

Gérard Hostache : docteur en écologie et sciences de l’environnement, chargé de communication INRA Antilles-Guyane.

 

Lundi 12 avril

Médiathèque / Lamentin

Rencontre scolaire

14 heures Déchets à ménager de Cécile Couraud  (52 min – 2007) EN COMPÉTITION en présence de la réalisatrice

Synopsis : Le problème des déchets est toujours vu sous l’angle de  l’élimination, alors que la réponse se trouve en  amont comment produire moins de déchets ? L’incinération et son  « mythe du feu purificateur » va complètement à l’encontre  d’une telle démarche : axée vers la rentabilité, elle pousse à la création de déchets. Ce documentaire propose donc d’autres solutions sans attendre des décennies d’empoisonnement comme avec l’amiante, le plomb ou le mercure.

 

Soirée biodiversité

18 heures Out of the box de Asaf Billet (2mn – 2009) EN COMPÉTITION

Synopsis : L’électricité est  bien capricieuse à l’intérieur de la boite… Out of the box, la solution est pourtant  simple et évidente      !

Disparition des abeilles, la fin d’un mystère de Natacha Calestrémé EN COMPÉTITION

Synopsis : Le film analyse un phénomène environnemental international préoccupant : la disparition massive des abeilles depuis août 2007. Ce désastre touche les États-Unis, l’Allemagne, la Suisse, l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Pologne, l’Angleterre et la France. Partant de la scène d’une disparition massive d’abeilles dans un rucher, le film déroule l’enquête, comme pour une énigme criminelle, à la recherche des différentes hypothèses sur la mortalité des hyménoptères.

19 heures La France sauvage, la Guadeloupe (30 min – ….) en présence de l’auteur Marc Giraud

Synopsis : Ile de l’arc antillais, la Guadeloupe possède une nature singulière et riche. Son isolement a rendu plus difficile qu’ailleurs sa colonisation par les êtres vivants. Mais depuis l’arrivée de l’homme, les échanges avec l’extérieur se sont accrus. La Guadeloupe, comme les autres îles antillaises, n’a jamais eu de contact avec le continent américain. D’origine volcanique, elle est sortie des eaux, et elle s’est « habillée » toute seule de plantes et d’animaux de diverses provenances. Les premiers arrivants sont naturels. Certains ont évolué en espèces endémiques, c’est-à-dire uniques au monde.

 

Les enjeux de la biodiversité de Sylvain Braun (52 min – 2009) EN COMPÉTITION

Synopsis : Comment mettre en place une alternative réaliste, compatible avec l’économie de marché, et qui pourrait enrayer la fuite en avant du monde capitaliste ? Dans cette quête, nous avons rencontré, aux quatre coins du globe, des hommes et des femmes qui ont modifié leurs comportements et qui œuvrent pour un développement raisonnable. Ils sont agriculteurs, chimistes ou architectes, médecins, commerçants ou banquiers…

Pôle Technologique de Douville /Sainte-Anne

19 heures Disparition des abeilles, la fin d’un mystère de Natacha Calestrémé (52 min – 2008) EN COMPÉTITION

Synopsis : Le film analyse un phénomène environnemental international préoccupant : la disparition massive des abeilles depuis août 2007. Ce désastre touche les États-Unis, l’Allemagne, la Suisse, l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Pologne, l’Angleterre et la France. Partant de la scène d’une disparition massive d’abeilles dans un rucher, le film déroule l’enquête, comme pour une énigme criminelle, à la recherche des différentes hypothèses sur la mortalité des hyménoptères.

Lycée Gerville Réache – Basse-Terre

Soirée grand public

19 heures Le beurre et l’argent du beurre de Philippe Baqué et Alidou Badini (1h02 – 2007)

Synopsis : Dans la savane du Burkina Faso, l’arbre à karité occupe une    place importante dans l’économie de subsistance villageoise. Les femmes extraient les amandes de ses fruits pour les transformer en beurre aux multiples vertus, utilisé dans la cuisine et pour les soins du corps. En vendant le karité, sous forme d’amandes ou de beurre, elles se procurent un petit revenu complémentaire.
Une série de portraits pour faire connaître le commerce équitable, mais aussi une interrogation sur la place réservée à un idéal généreux et solidaire dans nos sociétés contemporaines.

 

Mardi 13 avril

Pôle Technologique de Douville / Sainte-Anne

Collège Decorbin – Douville (3 séances)

9 h-12h Miel ou déconfiture de Daniel Auclair (26 mn – 2008) EN COMPÉTITION C.M.

Synopsis : On dit que sans les abeilles il n’y a plus de miel, mais savez- vous que sans les abeilles il n’y aura plus de fruits? Sans fruits, pas de confiture! Docu enquête sur cet insecte social qu’est l’abeille et les liens forts qui nous unissent et que nous détruisons à coup de pesticides…

Médiathèque / Lamentin

Rencontre scolaire

en partenariat avec le Clemi Guadeloupe (Centre de liaison se l’enseignement et des médias d’information)

Médias et environnement

14 heures La France sauvage, la Guadeloupe (30 min – ….) En présence de l’auteur Marc Giraud

Synopsis : Ile de l’arc antillais, la Guadeloupe possède une nature singulière et riche. Son isolement a rendu plus difficile qu’ailleurs sa colonisation par les êtres vivants. Mais depuis l’arrivée de l’homme, les échanges avec l’extérieur se sont accrus. La Guadeloupe, comme les autres îles antillaises, n’a jamais eu de contact avec le continent américain. D’origine volcanique, elle est sortie des eaux, et elle s’est « habillée » toute seule de plantes et d’animaux de diverses provenances. Les premiers arrivants sont naturels. Certains ont évolué en espèces endémiques, c’est-à-dire uniques au monde.

 

 

Soirée déchets avec la participation de GAIA SOLEIL

18 heures Métal  hurlant de Huaqing Jin (52 min – 2007/2009) EN COMPÉTITION L.M.

 

Synopsis : Une petite ville qui vit depuis vingt ans du démantèlement et de la décomposition de débris métalliques. Plus de 50 000 travailleurs venus parfois de loin constituent la force cachée de cette industrie. Peu éduqués, ils sont pourtant capables d’opérer le miracle qui transforme la pierre en or.

Miel ou déconfiture de Daniel Auclair (26 mn – 2008) EN COMPÉTITION C.M.

Synopsis : On dit que sans les abeilles il n’y a plus de miel, mais savez- vous que sans les abeilles il n’y aura plus de fruits? Sans fruits, pas de confiture! Docu enquête sur cet insecte social qu’est l’abeille et les liens forts qui nous unissent et que nous détruisons à coup de pesticides…

19 heures Déchets à ménager de Cécile Couraud (52 min – 2007) EN COMPÉTITION C.M. en présence de la réalisatrice

Synopsis : Le problème des déchets est toujours vu sous l’angle de  l’élimination, alors que la réponse se trouve en amont comment produire moins de déchets ? L’incinération et son  « mythe du feu purificateur » va complètement à l’encontre d’une telle démarche : axée vers la rentabilité, elle pousse à la création de déchets. Ce documentaire propose donc d’autres solutions sans attendre des décennies d’empoisonnement comme avec l’amiante, le plomb ou le mercure.

Salle Robert Loyson / Moule

19 heures Miel ou déconfiture de Daniel Auclair (26 mn – 2008) EN COMPÉTITION C.M.

Synopsis : On dit que sans les abeilles il n’y a plus de miel, mais savez- vous que sans les abeilles il n’y aura plus de fruits? Sans fruits, pas de confiture! Docu enquête sur cet insecte social qu’est l’abeille et les liens forts qui nous unissent et que nous détruisons à coup de pesticides…

 

Le syndrome du Titanic de Nicolas Hulot et Jean-Albert Lièvre (1h33 – 2009)

Synopsis : « Je n’étais pas écologiste quand j’ai commencé, il y a 30 ans, à voyager de par le monde. J’ai vu la planète se rétrécir sous mes yeux, je suis passé de la conviction insouciante de vivre dans  monde infini et immuable à la conscience d’un monde fini et  vulnérable. Depuis presque 20 ans, je me bats avec d’autres pour  alerter mais surtout mobiliser face à la menace. Aujourd’hui, le cinéma m’apparaît comme le moyen essentiel pour que chacun puisse à son tour, en France et à l’étranger, s’approprier le constat et partager mes sentiments… »

 

Mercredi 14 avril

Médiathèque / Lamentin Réalisations Guadeloupe

16 heures Ansanm ansanm an nou sové toti de Loïc Mauléon (14 mn – 2008)

Synopsis : Lors de la saison des pontes 2008, les bénévoles du Réseau Tortues Marines Guadeloupe ont accueilli Loïc Mauléon venu réaliser une séquence de quelques minutes illustrant les actions de Kap Natirel. Celui-ci a enregistré suffisamment de moments forts, pour lui donner envie d’en faire un documentaire. Une première partie aborde la biologie et le cycle de vie des tortues marines, une deuxième, les menaces et les actions mises en œuvre par le Réseau pour tenter d’y pallier.

L’anmou a bwa de Janluk Stanislas (15min – 2009)

Synopsis : Pointe-Noire : une capitale, une passion, le bois. Des hommes, gardiens d’une mémoire, témoins d’une époque révolue, héritiers d’une tradition et d’un savoir-faire d’antan.Ils demeurent aujourd’hui les derniers d’une longue lignée, charnière entre la nature et l’espace d’aujourd’hui. Ce film rend hommage à leurs pratiques artisanales, art de vivre où règnent respect, bonne humeur, entente et fraternité.

La Désirade en chemin dans le XXIème siècle de Kloro Educatifs Médias (52min – 2009)

Synopsis : Ce documentaire comprend les 6 reportages tournés en 2008, ainsi que le film présentant la démarche Agenda 21 à La Désirade.

18 heures Le début de la faim de Patrice Barrat ((54 mn – 2008) EN COMPÉTITION L.M.

Synopsis : « Le Début de la faim » parcourt la planète entre des lieux frappés par la crise alimentaire et d’autres où les dirigeants du monde doivent en débattre. Avec une question en tête : « Cette crise est-elle passagère ? Saura-t-on lui trouver une réponse ? ». 860 millions d’affamés, victimes des subventions au Cameroun, au Sénégal, de la dépendance en Haïti, de la spéculation en Thaïlande, des « mega food parks » qui se préparent en Inde ; rencontres au fil des sommets – FAO, G8, OMC, Europe – avec des responsables, et quelques chefs d’État… Et l’on se rend compte du fossé colossal entre les politiques prônées depuis 30 ans dont le seul credo était la loi du marché et les réalités vécues.

Le beurre et l’argent du beurre de Philippe Baqué et Alidou Badini (1h02 – 2007)

Synopsis : Dans la savane du Burkina Faso, l’arbre à karité occupe une    place importante dans l’économie de subsistance villageoise. Les femmes extraient les amandes de ses fruits pour les transformer en beurre aux multiples vertus, utilisé dans la cuisine et pour les soins du corps. En vendant le karité, sous forme d’amandes ou de beurre, elles se procurent un petit revenu complémentaire.
Une série de portraits pour faire connaître le commerce équitable, mais aussi une interrogation sur la place réservée à un idéal généreux et solidaire dans nos sociétés contemporaines.

 

Conférence de Pascal GBIKPI, (Direction de l’agriculture et de la forêt)

« Environnement et Développement durable en Afrique »

Après une formation d’agro-économiste en France et aux Etats-Unis, Pascal Gbipki a travaillé pendant près de vint ans en Afrique (Cameroun, Congo, Rwanda, Burkina, Côte d’Ivoire) dans le domaine du développement rural. Depuis février 200, il est affecté à la Direction de l’Agriculture et de la Forêt en Guadeloupe.. Sa conférence « Environnement et développement en Afrique » démontre, avec une abondante documentation, que le développement économique de l’Afrique ne pourra pas être durable s’il ne prend pas en compte le respect de l’environnement. »

 

La Désirade

19 heures L’eau du diable de Amirul Arham (52 min- 2005)

Synopsis : Chaque jour 75 millions de personnes au Bangladesh et dans l’Etat du Bengale consomment de l’eau contaminée par l’arsenic. Dans les années 70, des millions de pompes à eau ont été installées dans toute la région mais ce n’est que dans les années 90 qu’on s’est aperçu que ces pompes fournissaient en fait à la population de l’eau polluée par l’arsenic.
L’eau du diable raconte l’histoire de trois jeunes femmes dont les vies ont été douloureusement affectées par l’empoisonnement à l’arsenic.

Dlo dlo dlo de Félix Vigné (52 min- 2009)

Synopsis : Ce documentaire nous invite dans le quotidien de l’eau des bidonvilles de Port-au-Prince. En analysant l’impact du programme d’alimentation en eau des bidonvilles de la métropole, ce film démontre qu’une petite goutte d’eau peut être la source d’effets considérables. Depuis 1995, ce programme financé par l’AFD et mis en œuvre par la CAMEP avec l’aide du GRET permet la distribution d’eau aux plus démunis par le biais de fontaines payantes. Dans une ville où près de 60% de la population n’a pas d’accès direct à l’eau potable, pourtant vitale, la présence de ces points d’eau représente un immense soulagement et suscite l’espoir.

 

Jeudi 15 avril

Médiathèque / Lamentin

9 heures Rencontre professionnelle Cinéma et environnement

(invités du Terra et professionnels de l’audiovisuel de Guadeloupe)

 

10 heures Matinée seniors

L’anmou a bwa de Janluk Stanislas (15min – 2009)

Synopsis : Pointe-Noire : une capitale, une passion, le bois. Des hommes, gardiens d’une mémoire, témoins d’une époque révolue, héritiers d’une tradition et d’un savoir-faire d’antan. Ils demeurent aujourd’hui les derniers d’une longue lignée, charnière entre la nature et l’espace d’aujourd’hui. Ce film rend hommage à leurs pratiques artisanales, art de vivre où règnent respect, bonne humeur, entente et fraternité.

Après nous le déluge de Daria Roma (14 min – 2009)

Synopsis : Film tourné durant le voyage du réalisateur dans son village natal « Petritskoe ,» situé non loin de la zone interdite de Tchernobyl , et évoqué seulement trois ans après la catastrophe.

Colorado, les voleurs de fleuve de Sandrine Feydel (26 min – 2008 EN COMPÉTITION C.M.

Synopsis : Le Colorado est le troisième fleuve le plus long du monde. Pour pouvoir développer leurs villes et surtout irriguer leurs immenses étendues agricoles en plein désert, comme Las Vegas, les Américains ont construit une dizaine de barrages sur le fleuve Colorado. Conséquence : seuls 9% des eaux arrivent au Mexique. Le delta se meurt. La faune et la flore mais aussi les habitants. Aujourd’hui, le delta du Colorado est réduit à 5%, il n’est plus qu’un désert aride qui s’étend à perte de vue. La catastrophe écologique est flagrante.

14 heures Rencontre Scolaire

Goldmen, résistants pour la terre de Cyril Peyramond (1h31 – 2009) EN COMPÉTITION L.M. en présence de Sébastien Viaud

Synopsis : Le prix Goldman est réputé être le prix Nobel de l’environnement. Il est décerné depuis 1990, en récompense des luttes environnementales que mènent des femmes et des hommes sur tous les continents. Sébastien Viaud a décidé de partir un an autour du monde pour rencontrer ceux qui ont reçu ce prix. 5 pays, 5 personnages, 5 résistants pour la Terre et autant de thématiques humaines et environnementales.

 

Soirée Eau

18 heures « O » de Jean-Vincent Bertaud (6 min – 2009)   EN COMPÉTITION C.M.

Synopsis : « Vieil océan, il n’y aurait rien d’impossible à ce que tu caches en ton sein de futures utilités pour l’Homme.» Isidore Ducasse.

Cité du pétrole de Marc Wolfensberger (52 min – 2009)

Synopsis : Derrière ce nom énigmatique se cache la plus grande et la plus ancienne ville pétrolière offshore jamais construite. Un îlot de forage tentaculaire bâti au milieu de la mer Caspienne en 1949. Imaginez plutôt : 180 kilomètres de ponts, des centaines de plates-formes, souvent à l’abandon, des camions soviétiques brinquebalants passant de l’une à l’autre, des immeubles de cinq voire de neuf étages, des milliers de foreurs sortis tout droit d’un film de propagande, une cantine du peuple, un parc… une sorte d’Atlantide du pétrole, pourtant bien vivante.

19 heures Colorado, les voleurs de fleuve de Sandrine Feydel (26 min – 2008) EN COMPÉTITION C.M.

Synopsis : Le Colorado est le troisième fleuve le plus long du monde. Pour pouvoir développer leurs villes et surtout irriguer leurs immenses étendues agricoles en plein désert, comme Las Vegas, les Américains ont construit une dizaine de barrages sur le fleuve Colorado. Conséquence : seuls 9% des eaux arrivent au Mexique. Le delta se meurt. La faune et la flore mais aussi les habitants. Aujourd’hui, le delta du Colorado est réduit à 5%, il n’est plus qu’un désert aride qui s’étend à perte de vue. La catastrophe écologique est flagrante.

La fièvre de l’or de Olivier Weber (1h35 – 2008) EN COMPÉTITION L.M.

Synopsis : L’Amazonie est au cœur d’une nouvelle ruée vers l’or. Pour cette course vers les pépites et les paillettes jaunes, les hommes et les femmes s’enchaînent. Et détruisent l’un des derniers paradis, le poumon de la planète, la plus vaste forêt tropicale du monde, où tout se paie désormais en or. Un cycle du lingot s’est ainsi constitué, avec son lot d’endettés, de prostituées, de parrains, de trafiquants, que ce soit en Guyane française, au Brésil ou au Surinam. L’or a amené les maladies, le mercure, les crimes, l’alcoolisme, et a transformé les criques et les fleuves en poubelles.

 

Pôle Technologique de Douville / Sainte-Anne

Rencontres scolaires

8 h 30 Forum des métiers de l’environnement

14 heures La France sauvage, la Guadeloupe de Marc Giraud, images Franck Poirier (30 min – ….)

Synopsis : Ile de l’arc antillais, la Guadeloupe possède une nature singulière et riche. Son isolement a rendu plus difficile qu’ailleurs sa colonisation par les êtres vivants. Mais depuis l’arrivée de l’homme, les échanges avec l’extérieur se sont accrus. La Guadeloupe, comme les autres îles antillaises, n’a jamais eu de contact avec le continent américain. D’origine volcanique, elle est sortie des eaux, et elle s’est « habillée » toute seule de plantes et d’animaux de diverses provenances. Les premiers arrivants sont naturels. Certains ont évolué en espèces endémiques, c’est-à-dire uniques au monde.

20 heures La main à la paille de Sandrine Gadet (26 mn – 2009) EN COMPÉTITION C.M.

Synopsis : C’est l’histoire d’un couple qui a fait le choix d’un habitat sain. Magalie et Stephen ont décidé de construire leur maison avec des matériaux naturels comme la paille, le bois, la terre. C’est une première pour eux. Cette maison, ils l’ont imaginée…à présent ils vont eux-mêmes la bâtir. Aidés par un réseau d’amis et d’auto-constructeurs, ils vont tout mettre en œuvre pour que leur projet prenne forme. Loin des discours sur le développement durable, dans leur coin de campagne, Magali et Stephen vont jeter les bases d’un projet de vie qu’ils souhaitent le plus en phase possible avec leurs convictions écologiques.

Le syndrome du Titanic de Nicolas Hulot et Jean-Albert Lièvre (1h33 – 2009)

Synopsis : « Je n’étais pas écologiste quand j’ai commencé, il y a 30  ans, à voyager de par le monde. J’ai vu la planète se rétrécir sous  mes yeux, je suis passé de la conviction insouciante de vivre dans  monde infini et immuable à la conscience d’un monde fini et vulnérable. Depuis presque 20 ans, je me bats avec d’autres pour alerter mais surtout mobiliser face à la menace. Aujourd’hui, le cinéma m’apparaît comme le moyen essentiel pour que chacun  puisse à son tour, en France et à l’étranger, s’approprier le constat et partager mes sentiments… »

 

Vendredi 16 avril

Ecole Klébert Moinet – Mare-Gaillard (Gosier)

Rencontre Scolaire

10 heures Le rêve de Brandon de Pierre Meynadier (52 mn – 2006)

Synopsis : A Porto Alegre, dans le sud du Brésil, plusieurs milliers de familles vivent dans une favela bâtie sur une île au milieu de l’estuaire qu’on nomme le Guaiba. Reliée à la ville par un simple pont, cette communauté d’exclus vit exclusivement du ramassage et du tri des déchets recyclables, accompli dans des conditions précaires, à l’aide de carrioles à cheval.

Brandon a 9 ans. Il travaille chaque jour avec son père, qui est un de ces « ramasseurs ». Un jour, Brandon trouve dans une poubelle une pile de revues de décoration, et prend conscience de la réalité de sa condition.

 

Médiathèque / Lamentin

17 heures Zog et les rivières du ciel de Pierre Meynadier (1h32 – 2009) EN COMPÉTITION L.M.

Synopsis : Pour des raisons qu’ils ignorent, les singes hurleurs d’un clan du Pantanal (Brésil) vont avoir à souffrir d’un important retard des pluies. A travers leur regard, des changements s’opèrent dans « l’ordre des choses ». Olim, l’anaconda roi du marais, décide d’investir la forêt, croyant pouvoir profiter de la faiblesse dans laquelle les ont plongés la faim et la soif. Mais l’ordre des choses finit toujours par reprendre ses droits…

19 heures Goldmen, résistants pour la terre de Cyril Peyramond (1h31 – 2009) EN COMPÉTITION L.M en présence de Sébastien Viaud

Synopsis : Le prix Goldman est réputé être le prix Nobel de l’environnement. Il est décerné depuis 1990, en récompense des luttes environnementales que mènent des femmes et des hommes sur tous les continents. Sébastien Viaud a décidé de partir un an autour du monde pour rencontrer ceux qui ont reçu ce prix. 5 pays, 5 personnages, 5 résistants pour la Terre et autant de thématiques humaines et environnementales.

 

Médiathèque / Trois-Rivières

19 heures Ces catastrophes qui changèrent le monde de Virginie Linhart (1h10 – 2009)
Synopsis : Le documentaire retrace en images l’émergence de la prise de conscience écologiste : depuis 1945, avec l’accélération de l’industrialisation du monde, des catastrophes écologiques majeures secouent la planète. Leurs conséquences, les réactions et engagements qu’elles suscitent font naître un nouveau combat : l’écologie.

 

Samedi 17 avril

Médiathèque / Lamentin

14 heures Remise des prix des jeunes (Rectorat/Parc  National)

 

16 heures Nos enfants nous accuseront de Jean-Paul Jaud (1h42 – 2008)

Synopsis : La courageuse initiative d’une municipalité du Gard, Barjac, qui décide d’introduire le bio dans la cantine scolaire du village. Le réalisateur brosse un portrait sans concession sur la tragédie environnementale qui guette la jeune génération : l’empoisonnement de nos campagnes par la chimie agricole (76 000 tonnes de pesticides déversées chaque année sur notre pays) et les dégâts occasionnés sur la santé publique. Un seul mot d’ordre : Ne pas seulement constater les ravages, mais trouver tout de suite les moyens d’agir, pour que, demain, nos enfants ne nous accusent pas.

19  heures Remise des prix (projection extraits des films lauréats, du travail des  stagiaires avec D. Zandronis et des  minutes pour l’environnement)

 

La fin de la pauvreté de Philippe Diaz (1h44 – 2009)

Synopsis : Avec tant de richesses dans le monde, pourquoi y a-t-il  encore tant de pauvreté ? S’aventurant au-delà des réponses ‘populaires’ sur les origines de la pauvreté, ‘La Fin de la pauvreté ?’ se demande si les véritables causes ne viennent pas d’une orchestration des pays riches pour exploiter les plus pauvres, de l’époque coloniale à aujourd’hui. Les peuples qui luttent contre la pauvreté répondent, condamnant le colonialisme et ses conséquences : appropriation des terres, exploitation des ressources naturelles, dette, néolibéralisme… Des favelas d’Amérique latine aux bidonvilles d’Afrique, des économistes de renom, des personnalités politiques et des acteurs sociaux révèlent comment les pays développés pillent la planète ; un saccage qui menace ses capacités à soutenir la vie et accroît toujours plus la pauvreté…

 

Expositions du 7 au 17 avril

Hall d’exposition et Salle Polyvalente de la médiathèque du Lamentin :

Dany Levreau (mosaïques sur bois flotté),

Philippe  Pollet (sculpture),

Bernard Pincemail (travail sur tuff),

Daniel Dabriou (photos)

 

Exposition « La biodiversité » (CRDP)

Le Coin des livres

Avec

La Librairie JASOR

Le C.R.D.P.

La médiathèque du Lamentin

 

Festival OFF

 

Dimanche 18 avril

 

Ciné-Théâtre / Lamentin

18 heures Solutions locales pour désordre global de Coline Serreau (1h58- 2010)
Synopsis : Le dérèglement écologique mondial est une conséquence directe  de notre système de production et de consommation. Il en résulte une crise profonde des ressources de la terre qui menace gravement la sécurité alimentaire de la planète. Pourtant, des solutions existent. Et toutes de fondent sur l’élaboration d’un autre type de société… Il est urgent de présenter ces alternatives qui promettent de sauver la planète et l’humanité par la même occasion !

Océans de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud (1h44- 2010)
Synopsis : Filer à 10 noeuds au coeur d’un banc de thons en chasse, accompagner les dauphins dans leurs folles cavalcades, nager avec le grand requin blanc épaule contre nageoire… Le film Océans c’est être poisson parmi les poissons.
Après Himalaya et Le Peuple migrateur, Jacques Perrin nous entraîne, avec des moyens de tournage inédits, des
banquises polaires aux tropiques, au coeur des océans et de ses tempêtes pour nous faire redécouvrir les créatures marines connues, méconnues, ignorées.

 

Lundi 19 avril

Lieu à préciser –

Rencontre Scolaire

14 heures Goldmen, résistants pour la terre de Cyril Peyramond (1h31 – 2009)

en présence de Sébastien Viaud
Synopsis : Le prix Goldman est réputé être le prix Nobel de l’environnement. Il est décerné depuis 1990, en récompense des luttes environnementales que mènent des femmes et des hommes sur tous les continents. Sébastien Viaud a décidé de partir un an autour du monde pour rencontrer ceux qui ont reçu ce prix. 5 pays, 5 personnages, 5 résistants pour la Terre et autant de thématiques humaines et environnementales

 

Mardi 20 avril

Lycée Poirier de Gissac – Sainte-Anne

Rencontre Scolaire

14 heures Goldmen, résistants pour la terre de Cyril Peyramond (1h31 – 2009) en présence de Sébastien Viaud


Synopsis : Le prix Goldman est réputé être le prix Nobel de l’environnement. Il est décerné depuis 1990, en récompense des luttes environnementales que mènent des femmes et des hommes sur tous les continents. Sébastien Viaud a décidé de partir un an autour du monde pour rencontrer ceux qui ont reçu ce prix. 5 pays, 5 personnages, 5 résistants pour la Terre et autant de thématiques humaines et environnementales.

Mercredi 21 avril

Salle de l’Etoile – Morne à l’eau

Rencontre Scolaire

14 heures Miel ou déconfiture de Daniel Auclair (26 mn – 2008)

Synopsis : On dit que sans les abeilles il n’y a plus de miel, mais savez- vous que sans les abeilles il n’y aura plus de fruits? Sans fruits, pas de confiture! Docu enquête sur cet insecte social qu’est l’abeille et les liens forts qui nous unissent et que nous détruisons à coup de pesticides…

Zog et les rivières du ciel de Pierre Meynadier (1h32 – 2009)
Synopsis : Pour des raisons qu’ils ignorent, les singes hurleurs d’un clan du Pantanal (Brésil) vont avoir à souffrir d’un important retard des pluies. A travers leur regard, des changements s’opèrent dans « l’ordre des choses ». Olim, l’anaconda roi du marais, décide d’investir la forêt, croyant pouvoir profiter de la faiblesse dans laquelle les ont plongés la faim et la soif. Mais l’ordre des choses finit toujours par reprendre ses droits…

Les entrées sont libres et gratuites,

sauf pour la soirée d’ouverture (sur invitation et réservation)

 

REMERCIEMENTS

à

 

L’APCAG (Association pour le Développement du Cinéma d’Art et d’essai en Guadeloupe)

 

L’APCIAG (Association des Producteurs de Cinéma et d’Audiovisuel de Guadeloupe)

 

Gérard CÉSAR

 

La famille CORNÉLY

 

Le CRDP de la Guadeloupe

 

KARIBEA (Karibean Beach Resort)

 

La librairie JASOR

 

Le lycée Gerville Réache (Basse-Terre)

 

Robert OUMAOU

 

Dominik Coco

 

Felly SEDECIAS

 

Ainsi qu’à tous ceux qui ont apporté leur concours à la préparation et à l’organisation de ce festival